☾ Clan du Temps ☽
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 GEAI NOIR » Automate de la vanité ? Sincèrement, non. //WIP//

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GEAI NOIR » Automate de la vanité ? Sincèrement, non. //WIP// Empty
MessageSujet: GEAI NOIR » Automate de la vanité ? Sincèrement, non. //WIP//   GEAI NOIR » Automate de la vanité ? Sincèrement, non. //WIP// EmptyMar 27 Oct - 15:54

GEAI NOIR
« Dame nature, je vous haie profondément. »
NOM → Geai Noir ▬ Lunes → 21  ▬ Sexe → mâle  ▬ Clan → Clan du Temps  ▬ Rang → Guerrier  ▬  
INFORMATIONS DE BASE
Physique
Disons que d'une manière plutôt ironique, Geai Noir ressemble à son père en de nombreux points. Si ce n'est par l'aspect, ce sera par l'attitude et les manières, chose qu'il a fort honte d'avouer puisqu'il cherche à éviter toute ressemblance avec son géniteur. Pour ne pas faire compliqué, Geai Noir semble être fait d'un amas de choses qui s'opposent, se battant furieusement afin de créer cet être unique qui peut parfois mettre mal à l'aise tant il est difficile à cerner. A la fois brute et élégant, à la fois svelte et robuste, oscillant entre une figure dominante qu'il a toujours eue comme modèle et les traces d'une mère à l'allure bien plus fine. Finalement, bien qu'il ait atteint un âge où tout autre chat devrait déjà savoir qui il est, Geai Noir est encore à la recherche de sa personnalité. Autrement dit, ses manières et son allure ne sont pas fixes et s'il peut tantôt sembler agile et aristocrate, il pourra le lendemain paraître brutal et maladroit.

Son corps est recouvert d'un poil ras d'un froid gris anthracite, tandis que son museau, son poitrail, son ventre et le bout de sa queue sont éclairés par un blanc de lin semblable à la lune. Le bout de sa patte avant gauche est également teinté de blanc, comme s'il l'avait plongé dans de la peinture opaline avant de la retirer avec empressement. Il ne peut pas se vanter d'être le plus massif des guerriers, bien qu'il possède une certaine musculature due à des lunes d'entraînement. Il n'égale pas certains guerriers en force et préférera allier la vitesse à la précision que la force et l'endurance.  

Ses yeux semblent voir des flammes s'embraser en permanence puisqu'ils sont délicatement nuancés d'orange brûlé par endroit, tandis qu'une délicieuse teinte topaze occupe le reste de ses pupilles, semblables alors à deux pierres précieuses. Ainsi, il est difficile de percevoir la ressemblance entre lui et ses sœurs, d'autant plus que leur relation n'est pas publique, mais seuls quelques matous observateurs pourront déceler les hérédités qui les unissent.
Caractère
Caractère - 5LIGNES MINIMUM
ONCE UNPON A TIME
Histoire

I

Tout ce qui m'entoure est aspiré dans un violent tourbillon qui happe tout ce qui est immobile. Balai de bulles. Déferlement de vagues. Je m'agite, je réajuste mes pattes et mon abdomen, je fends les flots du bout des griffes. Inondation dans mes oreilles. Descente d'eau dans la trachée. Dame nature, je vous hais profondément. Je peux sentir les galets rouler sous mes coups de pattes tremblants. Le froid se glisse sous ma peau. Le froid. Le froid. Le froid. Douleur atroce dans la patte droite. Je hurle, mais ma voix ne trouve pas d'air pour vibrer. La dernière chose que je retiendrais avant de mourir sont ces litres s'engouffrant sans répit dans ma gueule et l'eau, froide, frémissante tout autour de moi.

J'ouvre les yeux en crevant la surface. On me hisse sur le rebord, les remous de l'eau léchant le rivage duquel je m'éloigne. Mon cœur fait un bond, mon ventre se tord, ma cage thoracique se contracte. Je vomis de l'eau, encore, encore, encore. C'est comme si le fleuve tout entier s'écoulait de mes entrailles. Quand enfin l'air gonfle mes poumons, je vis une seconde naissance : un cri m'échappe. Enfin, je peux savourer le goût exquis de l'oxygène se déversant dans mon poitrail. Depuis quand est-il si agréable de respirer ? Je reprends mes esprits. Doucement. Une chose à la fois. Je reviens du monde des morts, là. Est-ce que mon cœur a toujours fait autant de bruit ?

Je lève mon regard vitreux sur la silhouette de mon sauveur. Un vieillard au poil abîmé et aux yeux jaunis, aux os saillants sous ses muscles inexistants et à la posture bancale. Un sourire tord son visage.

« Eh bien, tu nous reviens de loin, mon garçon. »

Le fleuve est calme, maintenant.

II

« Est-ce qu'un jour, je rencontrerais ma mère ? »

« Quelle importance ? Tu m'as moi, n'est-ce pas suffisant ? »


La silhouette imposante du mâle au pelage sombre se dresse face à moi. Sentiment d'infériorité. Il darde un regard glacial sur mon être, me transperçant le poitrail. Sa présence en elle-même n'est pas effrayante : tout ce qui est lié à lui l'est. Son ombre me recouvre entièrement, me noyant dans l'obscurité. Je tente de garder les oreilles en avant, refusant de vaciller. Non pas que je ne le veuille pas : il me tuerait si je le faisais.

« Tout ce que tu sais faire est te plaindre, et tu es incapable de te contenter de ce que tu as déjà. Tu prends tout pour acquis, mais en réalité tout ce que tu crois posséder m'appartient. Je peux tout te prendre si je le désire. Tu devrais m'être reconnaissant, car je te donne tout. Car je t'ai crée. Car je te fais l'honneur de t'élever. Aussi avide que tu es maintenant, tu ne pourras jamais rien bâtir. »

Ses yeux de fou me brûlent. Ses belles paroles me manipulent et me font perdre le peu de confiance-en-moi et d'amour propre que je possède. Je le sais. Je danse au creux de sa paume. Depuis toujours. Depuis que je suis né, je suis destiné à être son jouet. Un sage pantin écoutant ce qu'on a à lui dire. Retenant et exécutant. Enregistrant chacun de ses mots, les rangeant dans une case de ma mémoire. Et si, par malheur, je dépassais du chemin qu'il m'avait choisi, ceux-ci revenaient pour me percer le cœur. Je le sais. Je ne fais que sombrer, coulant lentement dans les ténèbres, toute indépendance me glissant entre les doigts. C'est la noyade, l'immersion.

« Oui, père. »

III

Je frissonne. J'actionne mes muscles afin de réchauffer mon corps glacé, dénouant mes épaules endolories et frictionnant avec vigueur chaque parcelle de mon corps pour tenter de créer un tant soit peu de chaleur. Je lève mon regard vers le ciel. Bleu. Un bleu infini. Si infini qu'on croirait s'y perdre, s'y noyer. Ça me fout en rogne.

« D'où viens-tu, petit ? C'est pas tous les jours qu'on repêche des matous dans le fleuve, t'sais ? T'as eu de la chance, crois-moi. Les autres mourraient noyés ou le corps fracassés contre un rocher. Ca m'étonnerait même pas que le fond du fleuve soit recouvert de cadavres. A moins qu'les poissons les aient déjà mangés, bien sûr. Le cycle de la vie, tout ça. »

Je frissonnais. Le vieux n'avait pas toute sa tête. Mais je lui en devais une. Et pas des moindres. Sans lui, je giserais au fond de ce fleuve, parmi tous ceux ayant eu moins de chance que moi. Il était sale et solitaire, mais c'est tout ce dont j'avais besoin aujourd'hui. Une présence chaleureuse pour me tenir compagnie en ces jours taciturnes.

« Eh ben, t'es pas très bavard, toi, n'est-ce pas ? Le froid t'a gelé la langue ? Bah, laisse tomber. Dis-moi plutôt comment tu t'appelles. »

IV

« Voici Petite Rose. Et voici Petit Geai. » annonça la voix mielleuse d'une reine au pelage immaculé.

La pouponnière baignait encore dans l'odeur douce du lait, berçant les nouveau-nés lovés contre les flancs de leur génitrice. Celle-ci les observait avec amour, donnant des coups de langues sur chacun d'eux avec l'attention et le soin d'une jeune mère. L'une arborait une robe grise et d'immense yeux bleu profond, d'un bleu infini où il est coutume de se perdre. Le second portait sur lui une couleur plus sombre, d'un gris presque anthracite, tandis que, seul résidus de lumière, son museau, son poitrail et l'une de ses pattes conservaient une teinte claire.

« Ils sont incroyables, Lionne des cieux. »

« N'est-ce pas ? »

« Tu devrais te reposer maintenant, tu as beaucoup travaillé. Tu as besoin de calme. »


La féline acquiesça et sa compère se glissa hors de la tanière alors que quelques rayons du soleil vinrent s'échouer à l'intérieur du nid douillet. Une chaleur agréable régnait là dehors, et les jours étaient beaux. Le gibier était abondant et la paix n'avait jamais été aussi douce.  Probablement la meilleure période pour profiter de la vie clanique. Toutefois, la jeune mère ne semblait pas accueillir cet instant avec joie, car elle le savait : elle allait devoir se séparer de l'un de ses petits anges. Elle adressa un regard empli de tristesse à sa portée, détaillant chacun de ses deux chatons, ces deux petites choses sommeillant avec merveille contre ses flancs. Pourtant, elle se rendit compte qu'elle ne pouvait choisir : décider duquel elle devait se désunir était trop dur. Une épreuve bien trop difficile pour une jeune mère. Un calvaire. Elle en était tout simplement incapable. Lorsqu'elle comprit que ce choix allait lui peser toute une vie, des larmes roulèrent sur ses joues.

V

« Geai Noir. C'est mon nom. »

Le vieux matou me détailla consciencieusement, comme s'il fut étonné que je sois capable de parler et que l'eau n'avait pas inondé mes cordes vocales au point que je sois inapte à émettre le moindre son.

« Enchanté, Geai Noir. Appelle-moi Jack, veux-tu ? »

Il poussa le cadavre d'un mulot dans ma direction, m'invitant ainsi à prendre part au repas. Sans attendre, il entama sa part en silence. C'était une bien maigre proie et je supposais que, s'il vivait seul, c'était bien la seule chose qu'il était apte à attraper. J'étais incapable d'imaginer qu'un matou aussi âgé puisse chasser seul et je me sentais coupable d'avoir à lui prendre une part de son dur travail. Je dardais sur lui un regard hésitant, craignant d'être impoli. Lorsqu'il le remarqua, il prit un air moqueur et lâcha ce qui ressemblait plus à un suffoque-ment qu'à un réel rire.

« Et ben alors, t'attends quoi ? Fais-moi l'plaisir de manger, mon p'tit. J'voudrais pas que tu meures de faim. Pas après que j'me sois démené pour te sortir de l'eau. »

Aussitôt ses paroles dites, je me jetais sur la nourriture. Un goût délicieux se déversa dans ma gorge. Non, en fait, c'était ignoble. Mais n'importe quelle viande pouvait me convenir. J'avais arrêté depuis bien longtemps de faire le difficile. /Contente-toi de ce que tu as déjà./ Encore. Encore. Encore. J'avais beau fuir, ses paroles elles, restaient collées à moi, et je me sentais comme un oiseau cherchant à se défaire du pétrole dans lequel il baigne.

J'allais peut-être rester ici un peu, finalement. Ce vieux bougre me semblait amical et je n'avais nulle part d'autre où aller. Je pourrais l'aider en chassant pour lui et celui-ci se portera donc bien par la même occasion. Il cherchait quelqu'un pour le nourrir et le soigner, et je cherchais quelqu'un pour rompre ma solitude. Finalement, cette alliance me semblait équitable.

« Dis, gamin. Tu savais que ça n'existait pas, les Geais Noirs ? »

VI

« Prends soin de lui, je t'en prie. »

« Dépêche toi, je suis pressé. »

« Laisse-moi lui dire au revoir. »

« Tu as déjà eu tout ton temps pour ça. Va t-en, maintenant. »

« Je t'en prie, Griffe de Ratel, tu ne peux pas le prendre ! »

« On avait un accord, maintenant va t-en. Je t'en ai laissé une, c'est assez. »


La féline manqua de chuter, suivant d'un pas maladroit le mâle à la grande carrure. Celui-ci tenait dans sa gueule un fragile chaton au pelage noir et au museau blanc, s'agitant vainement et piaulant ans interruption. Plus la distance entre le mâle et la guerrière s'élargissait, plus les espoirs de la femelle s'évanouissaient. Elle le savait. Et ce, depuis le début. Elle avait trahi son clan en donnant naissance à des sang-mêlé et désormais elle devait en assumer les conséquences, aussi cruelles soient-elles. Bien qu'elle s'était résolue à faire ce choix il y a longtemps déjà, son instinct de mère lui dictait de suivre sa progéniture, de la protéger quoi qu'il en coûte. Et pourtant, cette même mère avait choisi l'un de ses petits parmi les autres, pour en faire un bouc émissaire. Et si elle avait choisi en dépit de ses sentiments, elle ne l'avait pas fait au hasard : l'unique mâle, celui qui, elle l'espérait, saurait grandir en compagnie de son fielleux père et qui, peut-être, retrouverait un jour sa jeune sœur ainsi que sa sœur aînée issue de la portée précédente.  

VII

Mon cœur battait à tout rompre, mon poitrail se soulevant à chaque inspiration saccadée. Panique dans les yeux. Souffle rauque. A nouveau, son regard me perçait l'abdomen. Des yeux bleus. D'un bleu infini. D'un bleu familier, d'un bleu immonde. Des yeux qui pourraient contenir toute la haine du monde tant ils sont monstrueux. Des yeux malsains, des yeux hostiles, des yeux nocifs. Et ça me prend à la gorge, me serre le thorax, m'étouffe, m'empoisonne. Il m'apparaît dorénavant non plus comme un démon, mais comme un diable. Trônant sur son pays de gloire et de vices, usant d'artifices et de faux-apparats pour mener ce monde comme bon lui semble. Un automate de la vanité. Dans un monde délabré et luisant de violence, son règne serait glorieux.

« J'en ai assez, désormais. Je ne te demanderais rien de plus. Je m'en vais. »

La voix apeurée qui sort de ma gorge me glace. Finalement, depuis tout ce temps, je n'ai jamais grandi. Je suis resté ce chaton effrayé par l'ombre de son père, se mouvant dans les ténèbres afin d'éviter sa présence, obéissant à ses ordres et buvant ses paroles infectes.

« Tu es toxique, père. Depuis tout ce temps, tu prétends faire de moi un véritable guerrier, mais la vérité, c'est que tu ne fais que me brider. Mais ça suffit, désormais. Je ne me laisserais plus influencer. »

Un sourire macabre tord son visage sinistre. « Toi, tu oses me tenir tête ? Parce que tu as enfin été nommé guerrier, tu te prétends plus fort que moi ? Tu es gonflé de prétention, mais en réalité, tu n'es rien. Tu peux toujours te faire l'illusion d'une nouvelle vie, mais n'oublie pas que ses piliers, c'est moi qui les aies construits. les racines de l'arbre que tu es devenu, c'est moi qui les aies renforcées. Et si je le désire, je peux tout faire s'effondrer. D'un-simple-geste. »

Il articule ses dernières paroles avec soin, son regard de fauve rivé sur moi. J'étouffe. Il ne connaît pas la peur. Ses griffes luisent. Le temps s'accélère. Je manque de souffle. Il bande ses muscles, bondit, se jette sur mes épaules, me faisant chavirer. Mêlée de crocs et de griffes. Père contre fils. Je suis jeté contre un rocher, le vacarme du fleuve bourdonne dans mes oreilles. L'eau. Si proche. Sonné, je suis incapable de me relever et je gis contre la paroi rocailleuse qui me sert de dossier. Il s'approche de moi, l'air victorieux.

« Tu vois ? Quelqu'un comme toi ne pourra jamais rien créer. »

Il saisit ma nuque entre ses crocs puissants et me soulève. Je sens un souffle glacé ébouriffer mon pelage, des gouttes d'eau affolées tombant sur mes flancs, puis soudain, c'est le silence. Des milliers de mains gelées m'empoigne, me tire, m'emmène dans les profondeurs. J'entrouvre la gueule pour hurler, mais mon cri est arrêté par de l'eau entrant dans ma gorge. Je me noie.

VIII

« Geai Noir, c'est exact ? »

Je déglutis. Rose des vents, une féline au pelage argenté, me toise d'un air hautain, comme si le temps lui manquait pour se préoccuper d'un matou de mon rang. Ses yeux sont bleus. D'un bleu infini. Encore. Pourtant, je ne crains pas de m'y noyer. Une chaleur naît dans mon poitrail, une chaleur douce et réconfortante, de cette chaleur dont je n'ai plus aucun souvenir. Elle me brûle et m'empêche de réfléchir correctement, mais ça n'est pas désagréable.

J'ai finalement trouvé un foyer. J'ai vécu un temps avec le vieux Jack, mais celui-ci a fini par succomber. Une mort de vieillesse. Une belle mort. Désormais, je suis accueilli dans un autre clan. Il me faudra faire encore un peu d'efforts pour m'y sentir à ma place, mais je tiens à rester ici. Car ici, j'ai trouvé ce que je recherche. Et je l'ai trouvé dans ces yeux d'un bleu infini. Je ne veux pas la perdre. J'ai peur qu'elle m'échappe, que celui que je suis devenu ne lui plaise pas. J'ai peur qu'il lui arrive malheur, j'ai peur de ne jamais pouvoir lui dire la vérité. J'ai peur qu'elle fasse sa vie en me laissant de côté, mais j'ai peur de la restreindre. Pour la première fois, je n'ai pas peur de quelqu'un, mais pour quelqu'un. C'est un sentiment doux et douloureux à la fois.
« Non, ce n'est pas moi. » répondis-je d'un ton moqueur.

Elle sourit. Et ce sourire me fit mal. J'avais attendu ce moment si longtemps. Depuis toujours j'attendais qu'enfin, quelqu'un de mon sang me sourit. Depuis toujours j'attendais de la revoir, elle avec qui j'avais partagé la même mère, elle avec qui j'avais été séparé par les sombres rouages du destin. Peut-être qu'elle ne saura jamais qui je suis. Peut-être qu'elle vivra sa vie sans jamais se préoccuper de ma présence. Mais je m'en fiche. La regarder s'épanouir me suffit. Il en est de même pour la seconde, dont j'ai appris l'existence il y a peu. Je veux les protéger, aussi faible que je puisse être.  

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GEAI NOIR » Automate de la vanité ? Sincèrement, non. //WIP// Empty
MessageSujet: Re: GEAI NOIR » Automate de la vanité ? Sincèrement, non. //WIP//   GEAI NOIR » Automate de la vanité ? Sincèrement, non. //WIP// EmptyDim 8 Nov - 15:48

Tu écris magnifiquement bien !
Il manque plus que tes cinq lignes (ou plus) de caractère et c'est ok ! GEAI NOIR » Automate de la vanité ? Sincèrement, non. //WIP// 1982204423
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